On relaie une revendication/appel trouvée sur iaata :
La promotion du beton est une pauvre gloire, on en retiendra les bouchons interminables et les ruines d’une Tour Occitanie qui tenta de s’ériger malgré une contestation obstinée.
Moudenc et sa clique vouaient la ville aux promoteurs et aux chantiers en tous genres pour faire entrer la ville de Toulouse dans la concurrence impitoyable des métropoles à grosses couilles. A qui la plus grande dalle, à qui la tour la plus phallique. A force de noyer la crise et son désespoir dans les bétonnières, les chantiers se multipliaient. Quartiers résidentiels, ramblas de mauvais goût et centres d’affaires servaient de pretexte aux expulsions de quartiers entiers et aux destructions massives.
Contre ce sens désuet d’une esthétique industrielle, contre la finance, ses cadres et ses conséquences, face à l’affront infantilisant des consultations publiques où tout est déjà décidé : tous les coups sont permis. Revoyons à la hausse le prix de leurs chantiers et du projet TESO.
Cueillons les occasions à mesure que les chantiers fleurissent.
Du ravalement de facades à la mobilisation des masses, faisons des longues nuits d’hiver à venir le gel des projets TESO et cie.
Echauffons nous, un petit mot a été tracé à l’huile de vidange sur toute la facade d’un bloc résidentiel en construction du promoteur Urbis, situé dans le quartier Lapujade.
des cousines est-allemandes